En 2010 le magazine GQ décidait d’établir un classement des « 30 avocats les plus puissants de France (PDF, 1027 Ko)». Forcément subjectif, relatif, incomplet, ce qui aurait pu être une fantaisie passagère s’est inscrit dans la durée en même temps que dans le paysage du microcosme judiciaire français, pour devenir en dix ans une véritable référence. L’auteur de ce classement, le journaliste Thierry LEVEQUE, fin connaisseur de ce milieu et des affaires marquantes de notre temps[1], a fait le choix de distinguer, aux côtés de grands cabinets parisiens incontournables en matière pénale, des avocats ayant été capables au cours de l’année de s’engager avec abnégation, de se mettre en danger, de surmonter une adversité quelque peu hors norme pour, finalement, faire entendre leur voix et modifier ce qui devait être l’ordre établi des choses - l’adjectif « puissants » mériterait sans doute d’être plus justement remplacé par « influents », puisque c’est en réalité de cela qu’il s’agit.
Ce n’est pas un diplôme qui fait devenir avocat, c’est un serment magnifique que rappelle chaque jour ces robes noires que nous ne pouvons porter qu’après l’avoir prêté : « je jure, comme avocat, d’exercer mes fonctions avec dignité, conscience, indépendance, probité et humanité ». Le législateur aurait peut-être pu ajouter, pour qu’il soit véritablement complet : « et un peu de courage… ».
Le Cabinet Jean BOUDOT s’est construit autour de valeurs éthiques fortes, dans la droite ligne de celles qu’il a héritées de son cabinet formateur, le Cabinet Alain MOLLA. Loin d’être un frein à l’efficacité d’un cabinet d’avocat, le respect des règles éthiques et déontologiques est au contraire ce qui assure à ce cabinet la crédibilité sans laquelle il n’est pas d’efficacité : réputés pour cette droiture, nos avocats sont à leur tour respectés dans leurs rapports avec leurs interlocuteurs naturels, au premier rang desquels confrères et magistrats.
Les clients de ce cabinet y trouvent quant à eux une sécurité essentielle, la disponibilité, la transparence et la loyauté étant les préalables fondamentaux pour créer la relation de confiance indispensable à une collaboration efficace. Reconnu par ses pairs quant à cette préoccupation éthique, Maître Jean BOUDOT a été durant plusieurs années membre de la commission déontologie du Barreau de Marseille, avant de devenir délégué général du Bâtonnier.
Le regard de la presse et des médias sur les affaires plaidées et le travail réalisé par le Cabinet Jean BOUDOT
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